Siiel (site web) a dit le mardi 20 décembre 2011 |
PREUM's! aah j'ai l'ego tout regonflé maintenant ... |
Krum a dit lapin compris le mardi 20 décembre 2011 |
je suis pas sur de l'avoir bien calculé celui-ci... |
Robert a dit je pense que le mardi 20 décembre 2011 |
Je pense qu'il veut dire que nous construisons des outils de plus en plus complexe pour faire des choses de plus en plus complexes mais qu'au final ces outils ne servent plus qu'à fabriquer d'autres outils (une sorte de boucle où c'est l'outil qui justifie l'outil). |
Kaï a dit le mardi 20 décembre 2011 |
L'homme est remplacé par sa création sinon |
Giraf (site web) a dit mhhh le jeudi 22 décembre 2011 |
Pas tout compris, mais je je pense que Robert a raison. Une explication pour le votey ? |
potexto a dit le vendredi 02 mars 2012 |
Une explication claire Au debut l'outil sert à batir de grandes choses (la pyramide) mais on voit qu'à ce moment là l'outil n'est pas bien maitrisé par l'homme. Une fois qu'il est maitrisé, l'homme veut voir toujours plus grand et fabrique des outils de plus en plus performant. L'outil créée un autre outil etc... Et cela donne une boucle sans fin |
J' a dit le vendredi 11 mai 2012 |
La matrice n'est loin... |
Guillaume a dit le samedi 20 février 2016 |
Image 1 : l'homme utilise un outil, mais on voit qu'il n'est pas totalement satisfait, et qu'il se demande peut-être s'il n'est pas possible de faire mieux. Image 2 : l'homme utilise des chaînes d'outils plus complexes, et construit de grandes choses. Il a quand même l'air plus étonné voire un peu effrayé que content. Image 3 : les outils ne servent plus à construire de grandes choses, mais à entretenir le système. C'est seulement sur cette image que l'homme a l'air heureux, mais ça ressemble plus à du syndrome maniaque qu'à du vrai bonheur. Image 4 : l'humain a complètement disparu d'un système dans lequel il ne compte plus et sur lequel il n'a plus prise. En gros, il n'existe plus. Soit dit en passant, c'est ça que j'aime dans les dessins "approximatifs" de bonhommes dans ce style : ça laisse la lecteur se faire ses propres opinions en orientant la réflexion, mais ça n'impose pas les conclusions |